Frank Eboa | Citoyennat

Frank Eboa

Frank Eboa
Homme de parole[s]

La vie c’est le Njambo
Simple jeu de cartes ou métaphore d’un style de vie?


Dans les premières pages 

En Afrique la politesse c’est sacrée. Lorsqu’aux petites heures d’un nouveau jour, deux humains se croisent, le minimum qu’ils se doivent est le Bonjour. C’est la base du savoir vivre. Le non négociable. Peu importe ce qu’a été la veille ou la nuit.

je fais donc ce que toute personne civilisée ferait lors d’une rencontre.

Je vous dis NJAMBO comme disent Hutus et Tutsis du Rwanda pour adresser leurs salutations distinguées.

Voilà. Nous nous connaissons suffisamment pour vivre en harmonieuse colocation, chacun dans le rôle universel de ressource.

Je n’apporte rien d’encombrant dans mon bagage humain léger à souhait. Pas de meubles. Seulement quelques portraits de valeur sentimentale tel que celui d’un jeu de cartes qui, via sa structure interne, rappelle l’importance de la bonne foi dans la justice d’un hasard équilibré pour tous. Les bons joueurs sont faciles à vivre. Ils disent bonjour malgré la défaite. Malgré la déception ou la colère. Il fallait nécessairement qu’un jeu de Société où la mise de base toute classe confondue équivaut à la bonne foi, se fasse nommé NJAMBO en plein centre du continent africain.

 


 

En quatrième de couverture

Je suis Frank Eboa, simple citoyen du Monde qui aime vivre de ses idées. En voici justement une qui voudrait servir autant que possible. À 32 ans, j’ai vitalement besoin que ma logique offre à Société ce qu’elle produit de meilleur. C’est pas rien parce qu’étant titulaire d’aucun diplôme [ou réalisation] notoire à l’époque où même le maçon pense à faire Harvard, question de se sentir plus apprécié, j’ai la prétention d’être utile au même titre que Marie Curie, Alexander G Bell, Jean-Paul II ou Pierre Deaudelin.

Le lecteur aura accès au raisonnement d’un rêveur de surcroît autodidacte. Accès à son interprétation de sa vie dans la Vie. Sa triple personnalité parmi plusieurs [de l’homme politique au citoyen consommateur en passant par l’entrepreneur]. Sa vision du chaos qui s’installe progressivement dans l’humanisme, mais aussi la promesse faite de franchise qui le garde immunisé contre une tendance à urgemment renverser.

Il interroge pour mieux raisonner, confesse pour mieux respirer puis paris sur la prière d’une Vie à vivre.